Recevez notre newsletter pour ne rien manquer de l'info, du sport et de nos émissions En collaboration avec l'ISSeP, l'institut scientifique de Service Public, la ville de Marche va analyser la qualité de son air et quantifier la présence de particules fine et autres polluants.
C'est une première en Région wallonne, la Ville de Liège en collaboration avec l'ISSEP, l'Institut Scientifique de Service Public, installe 16 stations environnementales sur son territoire. Destinées à enregistrer différents paramètres sur la qualité de l'air, ces stations vont mesurer toutes les 10 minutes par exemple les particules fines mais aussi l'ozone, les oxydes d'azote, la température et le bruit.
Liège est en train de déployer un réseau de 16 mini-capteurs environnementaux dans l'ensemble de ses quartiers. Ils mesureront non seulement la pollution atmosphérique, mais aussi le bruit, la température et l'ozone. La Ville disposera ainsi de données précises pour adapter ses politiques environnementale et de mobilité.
En raison du trafic, à quelle pollution êtes-vous exposé, en rue, mais aussi chez vous, à votre travail ou dans votre voiture? Pour le calculer de manière très précise, l'ISSeP, l'Institut Scientifique de Service Public, a décidé de lancer un appel à des volontaires. Dès le mois prochain, 300 personnes pourront participer à ce test grandeur nature, en provinces de Namur et de Liège.
C’était promis dans le plan stratégique transversal et, au regard des objectifs fixés dans l’ambitieux plan climat révélé en juin - à savoir réduire de 55 % ses émissions de CO2 à l’horizon 2030 et même être neutre en carbone à l’horizon 2050 - la Ville de Liège avait annoncé vouloir installer des capteurs d’air un peu partout sur le territoire. C’est désormais chose faite.
L’ISSeP, l’institut Scientifique de Service Public, lance le 24 avril une étude qui permettra de déterminer le niveau d’exposition de la population liégeoise à la pollution liée au trafic. OIE, pour Outdoor and Indoor Exposure, évaluera aussi bien la pollution extérieure qu’intérieure. Cette dernière n’est en effet quasi jamais évaluée. Pourtant elle est très importante car nous passons plus de 80% de notre temps à intérieur que ce soit chez nous, au travail, à l’école ou dans des lieux de loisir.L’ISSeP a mis au point des mini-stations de mesures équipées de capteurs d’oxyde d’azote, d’ozone et de particules fines. Ces polluants peuvent entraîner des problèmes respiratoires et cardio-vasculaires notamment chez les plus jeunes et les personnes âgées.L’ISSeP va demander à des volontaires habitant Liège et y travaillant de porter ce capteur durant une semaine, sept jours sur sept et 24h00 sur 24. 4 volontaires seront actifs par semaine. Tous leurs trajets seront tracés par GPS.Les données vont être récoltées d’avril 2019 à mars 2020. Le résultat de leur analyse sera communiqué en juin 2020 aux autorités publiques. Celles-ci pourront les utiliser pour déterminer leur politique de mobilité par exemple. 200 volontaires se sont déjà inscrits auprès de l’ISSEP qui en recherche encore une centaine. Les informations et modalités d’inscription se trouvent sur son site www.issep.beF. Bonivert - Liège
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L’AIR QUE VOUS RESPIREZ EN WALLONIE - L'Agence wallonne de l'Air et du Climat (AwAC) et la Cellule Qualité de l’Air de l’Institut Scientifique de Service Public (ISSeP) assurent la gestion des réseaux de surveillance de la qualité de l’air ambiant en Wallonie mais sont aussi actifs dans la réalisation de projets innovants concernant cette thématique environnementale
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Afin de pouvoir juger de l'efficacité de l'ensemble des mesures prises en faveur de la protection de la qualité de l'air que nous respirons et afin de vérifier les valeurs limites imposées par les Directives 2004/107/CE et 2008/50/CE, il est important de disposer d'outils performants permettant l'analyse de cet air.
The increasing availability of low-cost sensors and open source projects make it easier than ever for a maker to build his own air quality node. Nonetheless, depending on one’s goal and its related data quality objective, to customize an existing project or to build a specific printed circuit board may still be very useful. In the framework of the Outdoor and Indoor Exposure project, a portable mini-station has been developed, tested and then used in two experiments: exposure assessment and complementary network measurement. The present paper focuses on the description of the equipment that was designed and prototyped, as well as on the tests that were made in the lab and in the field to evaluate its overall performance and that of its different sensors. Finally, we present what we consider to be its main drawbacks and our perspectives for further development and tests.